« Qu'ils mangent de la brioche ! » ~ Welfinden

NOM : Le nom Welfinden me vint de mon père. Je le porte avec toute la fierté qui est dû à mon rang, tout du moins, essaie-je de faire honneur à cette famille tant appréciée jadis.
PRÉNOM : Konstanze est le prénom d'origine que ma mère m'octroya. L'origine latine de ce nom donna au fil des temps une consonance plus anglaise à celui que je possède. Et beaucoup à présent m'écrive en m'appelant Constance ce que j'exècre par dessus tout.
AUTRE PRENOMS : Ingrid Nannerl Antonia
AGE : Il n'est aucunement élégant de demander son âge à une femme une fois qu'elle eut passé le cap de l'enfance. Il ne me sied guère de vous répondre, cependant, j'y consens tout de même, poussée par le besoin de me faire bien voir de vous. J'ai de ce faire 26 ans . Êtes-vous satisfait ?
DATE DE NAISSANCE : Je suis née le trois Avril mille sept cent quatre-vingt six.
LIEU DE NAISSANCE : C'est dans la magnifique ville de Innsbruck que j'ai pu voir le jour. Pour ceux qui l'ignoreraient, c'est une fille d' Autriche qui se situe à l'Ouest du pays, dans une vallée au coeur des Alpes.
HABITE : Mon coeur déchiré entre deux pays me pousse à vivre à la fois en Autriche , dans ma maison familiale, et à Saint-Pétersbourg où j'ai pris mes petites habitudes.

Je suis avant tout Comtesse de Wilten et d’Aldrans . Du fait de mon nom, et de mes ancêtres fortunés en Autriche, je possède en effet ces deux contés, ce qui me confère un pouvoir unique et fort. En Autriche, je suis une femme hautement respectée, de pouvoir, qui peut forcer la main du Roi d'Espagne, et des Ducs qui dirigent notre pays. Mais, si cela m'amuse un temps, il n'est rien comparé au pouvoir que je désire prendre à la cour de Russie. En effet, arrivée dans ce pays nouveau à mes yeux, je prends la place de courtisane aux yeux de ceux qui vaguent à mes côtés à la cours. J'y suis du fait de mes richesses, de mon nom, et de mon rang, mais je ne suis peut-être pas plus importante que ces valets, et ces domestiques. Soit, je ne m'en fais point, car tout ceci changera bientôt. J'ai dans l'idée de devenir une favorite auprès de Tsar.

C'est une bien jolie femme que nous avons là. La nature l'a dotée d'une beauté naturelle et chatoyante, qui ravie les yeux envieux des hommes qui l'entourent. Elle n'est pas très grande , d'une taille qui cependant ne l'a fait pas paraitre non plus trop diminuée physiquement par rapport aux autres dames de la cours, elle a l'avantage d'une corps aux proportions divines . Mais plus encore, attardons-nous en détail sur le corps de cette poupée venue d'Autriche. Elle a un visage sans nul pareil en Russie. A la peau lisse et brillante , son visage est semblable à celui des petites poupées qui percent l'enfance des jeunes filles. Il aurait tout de la candeur et de l'innocence, d'ailleurs. Des joues rondes et rosées, un front large et lisse, un regard bleuté, et des lèvres sensuelles et minces, ainsi qu'un adorable nez. Mais il y a en elle quelque chose d'étrange , pour ne pas dire machiavélique ou dérangeant . Tout commence dans son regard, d'une bleu électrique qui vous juge avec une tel intensité que cela peut en devenir inconvenant. Il ne semble n'y avoir aucune âme derrière ses deux prunelles bleues claires qui pourtant paraissent si brillantes. Il y a, de plus, sur ce visage enfantin, une bouche prompt à la moquerie. Ses lèvres se jouant des grimaces peu enjouées, n'hésitent pas à relever les fautes que vous commettez en sa présence. Un sourire s'il ne parait pas être sincère, aura au moins le mérite d'être sournois. Elle a ainsi, gravé sur son visage, une sévérité qui se veut effrayante pour certaine, présomptueuse pour d'autre, ou de bon goût pour les plus critiques. Il n'y a d'ailleurs point que son visage pour faire l'objet d'inquiétude et de critiques, bien que rarement moqueuses. En effet, la duchesse n'hésitera pas à jouer de ce corps, cette poitrine aux rondeurs exaltantes, ces hanches tendrement dessinées, et ses longues jambes. Tout cela cachés sous des robes blanches ou roses la plupart du temps. Deux couleurs qui loin de cacher, inventent à ses formes une sensualité extravagante. Elle aime les bottinesde plus, et les collectionnes autant que les chapeaux et les plumes. Elle aime à ajouter des perruques à sa chevelure blonde, afin qu'elle monte jusqu'au ciel. Elle porte souvent ses cheveux hauts, les remontant en d'adorable boucles, soyeuses et presque blanches. Mais tous ces artifices renforces l'idée qu'elle n'a rien de vrai en elle. Elle est une poupée, belle et emplie d'artifice. Faut-il alors, la voir nue pour pouvoir contempler toute sa splendeur ?

« C'est une femme d'une froideur sans égale, qui vous regarde de haut, et qui ne vous décroche un sourire que pour mieux vous pourfendre. En somme, c'est une femme de la cour. »Il est, en effet, beaucoup de femmes qui peuvent la décrire comme étant quelqu'un de froid. Elle n'apprécie que peu le contact des autres dames, car elles sont bruyantes et fourbes. Elles parlent beaucoup pour vous distraire au mieux, et détenir de vous des informations précieuses. En somme, la froideur qui semble si bien caractériser notre chère Comtesse, cache tout du moins, une véritable prudence quant aux mots qu'elle pourrait être amené à échangée avec d'autres demoiselles. Lors des réceptions, et des diners, elle est de celles qui ne parlent que peu, et qui cependant, savent charmer par leurs paroles. « Elle est aussi hautaine qu'elle est peu chaleureuse. Lorsque vous êtes en sa compagnie, elle vous regarde avec tant de dédain que vous vous croyez relégué au rang de domestique ! » Elle n'apprécie pas la stupidité des hommes. Elle n'écoute que ceux qui lui semblent sages et réfléchie dans leurs discours. Elle ne prête nul attention au bassesse et aux rumeurs. Elle a apprit à ne pas s'intéresser au quant-dira-t'on et elle ne s'inquiète pas de l'image qu'elle pourrait donner. Elle est bien fière de ce qu'elle est devenue au fil des années et des épreuves. Peu de personne pourrait être aussi prétentieux qu'elle, mais la modestie n'est pas une qualité dont elle peut se vanter. Du reste, lorsqu'une qualité vous est donné par ceux qui vous entoure, pourquoi faire preuve d'hypocrisie en la repoussant d'une déclaration emplie de fausse modestie. Elle, elle aime les compliments, et elle ne se lasse pas des déclarations enflammées qui la compareraient presque à une divine perfection. « J'ai aussi entendu dire que c'était une véritable séductrice . Qu'importe l'homme, pour elle ils ont tous autant de valeur. Un tel comportement est peu digne d'une dame de son rang. » Elle aime les hommes, et surtout, le plaisir. Mais elle n'est pas aussi libertine que certaine, et elle sait choisir avec méticulosité ceux qui peuvent lui être utile. Elle ne désire pas s'encombrer d'une homme amoureux, d'un amant jaloux, ou d'un gentilhomme possessif. Elle tient à ce que ses amants lui servent. S'ils sont peu nombreux, ils ont cependant réussit à la faire venir en Russie, près de la résidence du Tsar, et lui promette de la présenter bientôt à lui. Car il n'y ait point d'homme qu'elle ait plus envie de séduire que ce fameux Alexandre dont le nom parcourt déjà les pays et dépasse les frontières. Elle est cependant certaine que c'est lui qui lui permettra de retrouver son rang, sa renommé et son pouvoir absolue dans son pays. Forte de ses expériences, elle est sûre, en outre, d'être hautement qualifiée pour plaire aux désirs du Tsar. « Je m'inquiète de la voir si proche des hommes de pouvoir. Elle semblerait être une manipulatrice très douée, qui arrive à monter les échelons de la société par une simple regard. » La seule chose à laquelle la demoiselle ne résiste pas, c'est au pouvoir. Elle est une véritable maitresse de ce pouvoir qui risque à chaque instant de la rendre folle. Elle ne peut y résister, y échapper, elle le pourchasse, et le désire. Ce pouvoir la consume et la rend envieuse à chaque fois qu'elle le touche du doigt. Et pour l'atteindre elle est prête à tout. Et surtout à se jouer des autres. Elle est devenue maitre dans l'art de la manipulation. Personne ne sait vraiment qui elle est. Personne ne la connait sous son vrai visage, et même elle ne peut se défaire des masques colorés et divers qu'elle porte au contact des autres. Elle est une comédienne hors-paire. Elle est douée, simplement, à ce jeu-là. « Souvent nous pouvons la voir trépigner. Elle ne reste jamais longtemps au même endroit, dans la même position. Elle est très impatiente je pense. C'est peut-être pour cela que nous la voyons surtout au bal masqué et à la table des jeux. » C'est une femme qui aime vivre. Elle aime jouer, s'amuser, aimer. Si cela ne se voit pas au premier abord, elle a besoin d'une vie qui la surprenne. Elle aime les rencontres inopportuns, et les jeux d'argents. Elle aime faire la fête, ou s'offrir de nouveaux vêtements. Elle aime que tout aille vite autour d'elle. Et si ce n'est pas la vie superficiel de la cour, il faut que ce soit un projet, un plan, une envie. Attendre est un supplice de plus dans une vie bien trop courte. Elle désire faire honneur à la vie, la vivre intensément, rapidement. De tout son être. Elle aime courir, monter à cheval, ou simplement danser. Elle aime bouger. Voir ce temps ralentir autour de chaque instants de félicités. Elle espère pouvoir prendre le pas sur le temps, jusqu'à l'éternité. « Nous ne pouvons pas lui faire confiance cependant. J'ai entendu dire qu'elle avait un lourd passé. Après tout personne ne sait qui elle est vraiment, ni d'où elle vient. Ce n'est qu'une vile menteuse . » Elle est d'une sincérité souvent mordante, mais seulement lors d'occasions justement choisie. Elle dit en générale ce qu'elle pense quitte à choquer quelques âmes pures. Elle n'apprécie pas l'hypocrisie de certaines qui se pensent assez vertueuses pour se permettre d'être moqueuses. Elle, elle ne parle pas de son passé. Elle ne dit rien de ses origines. Elle ment à propos de sa famille, et de son enfance. Elle ne dit rien de sa personne, de ce qui constitue son être présent. De ce qui la poussa à venir à Saint-Pétersbourg. Elle ment pour arriver à ses fins. Mais elle est cependant sincère, lorsqu'il s'agit de sentiments. « Mais je crois que nous pouvons quand même la voir comme quelqu'un de déterminé . Après tout, elle semble prête à tout pour devenir quelqu'un. » Un jour, elle le sait, au plus profond d'elle-même, elle n'aura plus à justifier son comportement parfois frivole, et ses manières peu courtoises souvent. Elle n'aura plus à baisser les yeux en présence des rois, et elle pourra sourire aux princesses. Elle sera devenue quelqu'un, quelqu'un de puissant ...

	ALEXANDRE ROUMANOV « Ô Mon cher Tsar. Un jour vous ne jugerez plus que par moi et ma beauté. Je vous rendrais fou. Vous ne désirerez que me posséder, vous ne voudrez que m'avoir pour vous seule. Je pourrais alors reprendre mon dû. Je pourrais de nouveau crier mon nom sans risquer la honte et l'inquiétude dûs à mon histoire. J'ai hâte, très chère, que ce jour arrive. »
	ERNEST KELLERMANN « Cher ami, vous que je possède déjà, et qui m'a possédé. Vous qui m'avez succombé si vite, et qui déjà m'êtes si précieux. Vous que je considère comme mon ami, le seul sans doute, en qui je puisse avoir entièrement confiance. Aidez-moi, je vous en pris, à faire honneur à mon nom et à notre amitié si douce. »

« Lorsque j'étais enfant, je me rêvais princesse, ou reine. J'imaginais pouvoir posséder un royaume fait de princes et de beauté. J'ai aussi longtemps désiré me marier. Je me disais que toute femme respectable devait un jour porter la robe blanche. Je voulais aussi vivre en Russie... ou en France. J'avais pour ses deux pays une obsession presque dévorante. Mais il était évident pour moi que je restais autrichienne. Je ne reniais aucunement ma famille ou mes origines. Je voulais voir le monde. Je voulais surtout voir la Russie, et le palais de Saint-Pétersbourg. Finalement j'ai réalisé mon rêve. Mais si je devais me marier, il serait mal vu que je porte une robe blanche... » Elle souriait, alors qu'elle parlait de la sorte devant le miroir de sa chambre. Elle se trouvait à Saint-Pétersbourg. Elle revenait tout juste de Paris où les rumeurs s'étaient faites si sévères envers elle, qu'elle avait dû fuir. Elle s'était promis de ne plus jamais faire cette erreur, de ne plus jamais être aussi faible. Elle avait cru redevenir innocente et naïve. Mais elle ne devait surtout pas redevenir naïve. Elle avait tant perdu. Parfois, lorsque les nuits étaient longues, elle ne pouvait faire autrement que d'y repenser. Alors, elle se levait, mettait une robe de chambre, elle allumait les bougies qui entouraient sa coiffeuse, elle s'asseyait face au miroir, et elle parlait. Elle se sentait vivre dans ces instants. Elle n'était plus cette Constante que tant de personne détestait, et qu'elle adorait par son charisme et sa langue tranchante. Ses traits étaient adoucis par la fatigue, et elle se surprenait souvent à sourire comme avant. Lorsqu'encore ses proches la nommaient Nannerl avec une voix tendre et affectueuse. Lorsque son père la prenait dans ses bras, et jouait avec elle pendant des heures. Lorsque sa mère lui apprenait à se tenir comme une femme de la cours. Lorsqu'elle passait des journées entière à chevauchait les étalons de sa famille, sur les terres qui lui appartenaient. Elle se souvenait des rires et des joies passées. Et cette mélancolie qui l'étreignait la faisait souffrir. Elle se jurait pourtant, chaque, de ne plus y penser. Et chaque fois ses rêves et ses songes la menait de nouveau à Vienne. L'Autriche lui manquait. Elle était cependant une femme faite pour la cour. Et elle se plaisait à faire parti de celle de Saint-Pétersbourg. Elle appréciait la Russie, tout du moins cette ville-là. Elle y faisait des rencontres charmantes. « Parfois je me dis que je n'ai rien à faire ici. Tout du moins, c'est ce que je me disais au départ. Paris me manquait, Vienne encore plus. Je pensais à mes parents. A cette nuit-là ... Je vis de mieux en mieux avec la culpabilité. Peut-être suis-je réellement insensible après tout. Cela ne saurait m'étonner. Je fais des cauchemars encore, souvent. Jamais je n'avais vu autant de sang ... N'y pensons plus. En réalité, je me plais ici, et c'est en parti grâce à ce cher Ernest. J'ai hâte qu'il m'amène à la cour. J'ai hâte de rencontrer le Tsar et de le faire succomber. » Ce qui la poussa à quitter Paris ce sont les regards et les chuchotements sur son passage. Son aventure avec le prince Jérôme n'arrangea rien à cette situation déjà insoutenable. L'eut-elle aimé que cela n'aurait rien changé. Elle repartie pour la Russie. Elle avait toujours voulu voir la Russie, et surtout, elle voulait faire partie des favorites du Tsar. Être la femme qu'il aimera. Pouvoir enfin jouir d'un pouvoir jusqu'alors espéré. Mais pour ce fait, elle devait surtout ne pas quitter de vu son objectif. Ne pas se laisser submerger par les sentiments, les remords, la tristesse, la culpabilité. Elle devait arrêter de penser à ce fameux soir. Si quelqu'un découvrait ce qu'il s'était passé dans la résidence qu'elle occupait avec ses parents, elle serait sans doute couverte de honte, et amener sur la place public pour être pendu. Elle s'imaginait bien d'autre torture, des morts atroces. Elle n'aurait pas la force de mettre fin elle-même à ses jours. Elle le savait. Mais elle ne devait pas penser ainsi. Sa vie, après tout, n'était pas en danger. Personne ne savait ce qu'il s'était passé ce soir-là. Et personne ne la connaissait ici. Elle pouvait vivre comme bon lui semblait, être celle qu'elle rêvait d'être. Cependant, elle savait qu'elle ne pourrait être mariée. Alors, si elle ne pouvait être ni mariée, ni princesse, elle sera courtisane. Cela ne la dérangeait pas. Elle aimait l'amour, ce sentir aimer, ce sentir apprécier. Elle retrouvait les impressions de son enfance, les regards aimant de ses parents perdus à jamais... C'était si dur de ce souvenir ce qu'il s'était passé ce soir-là. « Je retrouverai la place que j'ai perdu ce soir-là. Je pourrais de nouveau aller à la cour sans que l'on se retourne sur mon passage, sans que les rires et les moqueries ne tracent mon chemin. Je pourrais retourner en Autriche, où mes terres me reviendront de droits. Je pourrais retourner dans cette maison près de Vienne. Cette maison ... Pourrais-je y vivre un jour encore ? Je me souviens ... Parfois. Ils avaient dit qu'ils viendraient ce soir-là. C'était des nobles, c'étaient des amis, des voisins. Ils étaient si beaux. Je crois que c'est ce que je préfère dans l'amour, la beauté. Je n'aurai pas pu leur résister, c'est pour ça qu'ils sont venus ce soir-là. Et si j'avais su... Comment ais-je pu faire ca à Mère et Père ? Je les aimais tant ... Et je ne pleure plus sur leur corps à présent. N'ais-je jamais pleuré leurs morts ? » Elle seule sait ce qu'il se passa ce soir-là. Elle se regarda dans le miroir, éclairé par la lumière blafarde d'une bougie presque entièrement consumait. Elle tâchait de prendre un masque de peine, elle tâchait de pleurer la mort de ses parents. Pouvait-elle appeler ca une « mort » dans le sens si simple du terme. Ils étaient enterrés, certes. Leurs heures n'étaient cependant pas venue. Elle le savait. Elle s'en souvenait. Frustrée, c'est un masque de colère qui brisa son visage si serein. Elle se leva, ôta sa robe de chambre et s'allongea dans les draps froids de son lit. Ce soir encore elle n'avait pas su pleurer la mort de ses parents. Elle n'avait pas pu regretter ce qu'elle leurs avait faits ...

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Je crois que je suis tombée dessus inopinément lors de recherches absolument pas prévu. Peut-être sur PRD... Soit, je ne m'en souviens absolument pas.
UN PETIT MOT ? Au départ, je voulais un forum pour nous accueillir mon âme soeur de RP et moi, et je suis tombée follement amoureuse de ce forum-ci, donc, je vais tâcher de la convaincre de venir s'y inscrire ( je ne promets rien hein ? XD ) donc, voila ~