Christopher Denton - An American in St-Peterburg

NOM :Denton
PATRONYME :
PRÉNOM :Christopher
AGE :27 ans
DATE DE NAISSANCE :28 août 1783
LIEU DE NAISSANCE :Plantation Denton, près de Richmond, Virginie
HABITE :St-Petersburg et les États-Unis

Officiellement, Christopher est un assistant de John Quincy Adams, le premier ambassadeur des États-Unis en Russie. Il se contente de faire le stricte nécessaire, sauf pour ce qui est des volontés de l’ambassadeur, ça il le fait à la lettre afin d’éviter les ennuies et parce qu’il aime bien son patron. Il reste cependant qu’il n’est pas l’homme le plus professionnel qui existe. On l’a retrouvé entrain de roupiller sur son lieu de travail à plus d’une reprise. Il est malgré tout pas sans utilité, c’est un homme capable de faire la transition entre les milieux très aisés et ceux plus humble, puisqu’il est intéressé à découvrir le monde sous tous les angles, qui n’hésitent pas à se rendre familier avec tous ceux qu’il rencontre et à charmer si nécessaire. On peut le voir souvent en train d’écrire quelques lignes sur ce qu’il observe sur une base quotidienne, soit sur la vie des gens en Russie ou sur les potins de la cour impériale ou même des histoires de pirates, mais aussi des histoires d'horreur de mystère et de romance. C’est un romancier amateur qui se cherche un sujet d’étude. Ses écrits sont parfois quelque peu scandaleux, surtout pour leur description assez scabreuse et cynique des choses, alors il est assez reconnaissant que la majorité des russes ne puisse lire l’anglais, surtout les censeurs.

Il n’est pas très imposant ou intimidant, surtout pour les autres hommes. Au niveau de la taille on pourrait peut-être trouvez quelques femmes qui le dépasse assez facilement et beaucoup d’homme qui le domine comme un géant. Toutefois, dans sa posture on ne trouvera que très rarement des signes de soumission de sa part, il a toujours colonne est très droite. Il n’est n’y vraiment musclé, n’y vraiment athlétique, mais il est clair que son corps est en bonne santé et qu’il n’a pas une seule once de graisse en trop. Pour ce qui est des artifices toutefois, c’est vraiment un défendeur du strict minimum, c’est-à-dire un rasage et rien d'autre. On pourrait décrire son visage comme taillé aux couteaux et celui-ci a clairement commencé à délaisser toute trace de traits immatures pour quelque chose de plus sérieux. Ses cheveux noirs frisent naturellement au point d'être en bataille très souvent et il ne semble pas s'en préoccuper. Vous le verrez uniquement portez les vêtements distinguer, sinon il est loin d’être coquet. Au niveau Il préfère largement les couleurs sombres comme le noir ou le bleu marine, à la seule exception du rouge écarlate. On le voit souvent avec un sourire narquois et satisfait au visage, mais quelques fois on peut le voir avec un visage un peu plus sérieux.

Christopher veut être un spectateur passif qu’un participant dans la vie. Pour lui tout simplement regarder comment les choses se déroulent est assez intéressant pour ne pas vouloir s'engager dans les évènements, si ce n’est pour satisfaire sa curiosité et son hédonisme. S’il était né durant les temps romains, il serait probablement étendu sur un banc toute la journée à manger du raisin. Il a un manque de sérieux total dans la vie, une situation tragique peut lui arriver et soudainement il ne peut pas s’empêcher de remarquer la cruelle ironie ou de faire un petit commentaire pinçant. C’est un homme qui préfère le monde de l’imagination à la réalité. Il est tellement détaché que d’une certaine façon il ne veut pas heurter les gens avec ses manières seulement qu’ils s’amusent autant que lui, sauf ceux qu'il jugent trop stupide pour ne pas être moqué. En dehors de ses commentaires véreux, il à très peu de malices en lui, la violence est quelque chose qui le rend particulièrement inconfortable, il préfère davantage négocier et convaincre pour se sortir du pétrin. Sauf peut-être dans le domaine des amours où il se sent incapable de véritablement se sentir lier à une femme et son mauvais traitement de sa femme qu’il essaie d’ignorer même l’existence et une marque noir sur son tableau. Il est un peu séducteur sans être un débauché, il aimerait être un libertin, mais n’a pas assez de succès pour l’être véritablement. Il reste quand même un dandy du premier ordre et avec un tempérament de gentleman quand les conditions sont bonnes.

Il a une très piètre opinion du genre humain, étant plutôt du genre à croire que les gens sont tous des salauds (il se donne lui-même en exemple). Toute tentative de réforme est destinée à l’échec patent.

Avec les Années, il sent que que son mode de vie pourrait subir quelques modifications. Il ne peut s’empêcher de penser à quelques reprises qu’il pourrait faire mieux et que certains hommes le déclassent largement au niveau des accomplissements. Il n'est pas jaloux de ses hommes juste un peu envieux. Sa présence accrue dans le monde politique, l’aide à se former des opinions et quelques dilemmes moraux se forme dans son esprit, même s’il n'aime pas particulièrement avoir l'esprit tirailler. Son voyage en Russie lui a permis de connaître la condition de serf de plusieurs paysans russes. Venant d’une famille aristocrates du sud, il ne peut s’empêcher de songer au fait que la richesse de son clan (et la sienne) vienne essentiellement de l’appropriation du travail des autres. Venant d'un pays qui dénonce l'aristocratie de sang, il ne peut s'empêcher de remarquer la légère hypocrisie. Toutefois inconfort est pour l’instant bien marginal, au pire il se dit que l’esclavage est un mal nécessaire et inévitable, même si les Anglais ont rendu le trafic des esclaves illégales il y a quelques années pour lui, un monde sans l’institution particulière n’est pas envisageable même dans une centaine d'années.

	John Quincy Adams Le premier ambassadeur des États-Unis en Russie et son patron. Malgré le fait qu’il garde continuellement une attitude désinvolte devant l’homme, il l’admire secrètement et fait tout ce qu’Adams lui dit de faire à la lettre et avec diligence. Le ministre à la Russie ne l’aime pas beaucoup quand même et le voit surtout comme un parasite paresseux, malgré son travail.
	Lucy Cambridge Denton Cela fait quatre ans qu’ils sont mariés, mais il l’a laissé en Amérique. Elle a été entraînée toute sa vie à être une femme de la classe supérieure américaine parfaite, elle est donc naturellement soumise à son mari, s’occupent surtout en faisant les tâches domestiques et essaie toujours de montrer une image publique vertueuse et réparer ce mariage brisé. Christopher ne l’aime pas vraiment et la trouve inintéressante, c’était un simple mariage de convenance et il agit en conséquence, puisque qu’il ne sent ni proche d’elle émotionnellement, ni physiquement, mais au moins il ne la déteste pas et continue de répondre à sa correspondante, même si souvent ses réponses se résume à quelques lignes écrit avec très peu d'énergie. La fidélité n’a jamais été quelque chose qu’il n’a jamais considéré sérieusement et souvent il se présente en célibataire devant les autres. Elle sait bien que son mari préféré l’attention des autres femmes et elle essaie de garder l’illusion devant les autres, même si ça lui cause une certaine détresse qu'elle essaie tant bien que mal de caché. Leur premier enfant est mort après la naissance, il y a deux ans. Cela n’a que désagrégé davantage leurs relations.
	Olympia Colesman Esclave de la famille Denton, Christopher l’a amené pour qu’elle puisse faire des travaux domestiques pour lui. Il est plus proche d’elle que de sa femme, puisqu’il se connaît depuis l’enfance. Il l’a toujours mieux traité que les autres membres de la famille Denton, mais elle reste quand même une esclave pour lui. Bien qu’elle apprécie sa gentillesse, elle nourrit une certaine haine contre lui puisqu’il s’efforce de ne jamais rien faire et qu’il a toujours eu ce qu’il voulait pendant qu’elle sera toujours une esclave. Elle a toujours vécue sur la plantation Denton, alors pour elle être en Russie est une expérience perturbante, la lune serait moins éloignée pour elle.
	PRÉNOM NOM Description lien.

La famille Denton est aux États-Unis depuis une centaine d’années. Des marchands britanniques cherchant un nouveau début après que la compétition commença à gruger leur fortune. Une fois arrivée sur le nouveau continent, ils décidèrent de se recycler dans l’exploitation du tabac et depuis leur richesse n’a fait qu’augmenter depuis leur arrivée et maintenant ils sont parmi les agriculteurs les plus riches de Virginie et donc son membre d'une aristocratie américaine non avoué. Il a très peu de choses à faire sur le domaine agricole puisque ce sont habituellement les esclaves qui font tous le travail. Les Denton n'ont souvent qu’à négocier diverses ententes, souvent à travers les différents bals où les autres membres de l'aristocratie se rencontrent. La famille n'a jamais été intéressée par la politique et souvent davantage par le profit. Sa famille ne supporta qu’activement les révolutionnaires américains qu’une fois qu’il était évident qu’il serait ceux qui domineraient les 13 colonies.

C’est justement dans les derniers jours de la guerre d’indépendance que le petit Christopher naquit. Il est le troisième enfant de la famille et au total il aura deux frères (un plus grand, William et le dernier de la famille Douglas) et quatre sœurs (toutefois, une d’entre elles mourra avant même d’avoir eu son nom à elle). C’est une enfance plutôt paisible, la ferme est tellement grande qu’on peut facilement s’y perdre. Lui et son grand frère sont des petits effrontés qui passent leur temps à courir partout. Christopher a toujours été très proche de son grand frère. Celui-ci était destiné à prendre en charge les affaires familiales.La destinée de Christopher n’a jamais été vraiment claire, alors il passa son temps à tâtonner entre quelques activités. Cela peut-être surprenant maintenant, mais Christopher a toujours été un élève plutôt doué à l’école. Il avait de bonnes notes et le statut privilégié de sa famille, lui permit de rester plus longtemps que la moyenne des gens à l’école, il avait même un tuteur personnel. Si vous allez voir dans le coffre où il mettait ses affaires dans le domaine familial, vous verrez une petite collection de poèmes sur ce qu’il pouvait voir à la plantation, presque tous son d’une douceur et d’une innocence très touchante. Christopher est maintenant du genre à dénier même leur existence.

Son père était un homme contrôlant qui cherchait à ce que tout le monde comprenne qu’il était celui qui était en charge. Il était toujours d’une sévérité des plus extrêmes et ceux qui la subissaient étaient les esclaves puisqu’il voulait s’assurer qu’ils aient tous trop peur de lui pour se révolter. Il fait donc des démonstrations, si un le défie c’est le fouet, tout le monde doit l’observer, même le petit Christopher. À chaque fois que ça arrive, il part tout de suite se cacher dans sa chambre une fois la punition infligée et essaie d’oublier tout en pleurant. Son père le remarqua et lui explique un peu ce qu’il fait et pourquoi il doit le faire, mais aussi lui donne un œil au beurre noir parce qu’il déteste voir son garçon verser la moindre larme. Il se contrôla mieux à l’avenir, son père piquant des colères quand Christopher laissait transparaitre trop de sensibilité à son goût. Il commença à être plus désinvolte à mesure qu’il traversa l’adolescence. Il a perdu quelque peu l’intérêt pour ses études en même temps, il commença à davantage à s’intéresser aux bals et aux rassemblements lui permettant de recevoir un peu d’attention féminine.

Il n’avait pas remarque, mais son frère voulait s'échapper de la plantation. En fait au lieu de se préparer à prendre le contrôle de la plantation, il s’en alla faire une fortune personnelle à New York. Son père réagit très mal et le coupa de l’héritage, mais William n’en avait que faire. Il était assez intrigué, mais comme le rencontrer était une impossibilité. Voir la grosse pomme dû attendre la mort de son père vers la fin de l’adolescence de Christopher. Ce dernier héritait de tous après la disgrâce de son grand frère. New York était peut-être à un pour cent de ce qu’elle représente maintenant, mais elle était la plus grosse ville qu'il n’avait jamais vue. Il sentait l’excitation, l’intrigue et ça le palpita tout simplement. Durant son périple son grand l’introduisit à quelques milieux plutôt peu recommandables, mais il eut vraiment beaucoup plus de plaisirs dans ses quelques semaines à New York que dans plusieurs années de vie agraire. Toutefois, il voulait aller plus loin et en avoir bien plus.

Il laissa sa mère et ses sœurs s’occuper de la plantation (ce qu’elles font toujours d’ailleurs)., pour aller étudier à Yale. Il s’engagea plus fortement dans son hédonisme durant ses années, mais en même temps étudia le monde. Il apprit aussi plusieurs langages, le français, l'italien, l’allemand et le Russe, parce qu’il voulait explorer le monde.

Après quelques années d’études, il s’était mis comme projet de faire une chronique de voyage en Europe, mais à son retour à la maison, on lui imposa une épouse à sa grande frustration. Oui Lucy n’a jamais été son grand amour, pour lui elle le retenait. Elle avait beau être une femme d’une très grande douceur qui lui obéissait au doigt et à l’œil. Il n'avait que faire d’une femme en son genre. Christopher n’était même pas capable de lui donner le minimum d’attention et d’affection donc elle avait besoin pour être heureuse avec lui. Avoir une femme traditionnelle ne l’a jamais intéressé. Il ne voulait pas une épouse qui se confondait avec toutes les autres femmes de la classe supérieure de Virginie. Il en voulait une forte et passionné, capable de lui tenir tête pour l’empêcher de faire des âneries. En même temps Lucy était un peu trop un appel pour qu’il devienne plus mature, surtout après qu’elle soit tombée enceinte, ce qu’il refusait de faire.

Après la mort de leur enfant en couche, il perdit le peu d’intérêt qu’il avait en elle. Il voulut ce concentré surtout à avoir un travail dans le monde diplomatique. Il passa beaucoup de temps à Washington D.C à se faire des connexions. Il s’assura de connaître tout le monde qui pouvait l’aider dans la capitale. On décida à l’envoyer à la nouvelle ambassade de Russie grâce à ses compétences langagières. Cela fait environ un an qu’il vit aux frais de la République américaine. Il reste à l’ambassade la plupart du temps, mais comme d'habitude il aime épaté la galerie durant les rassemblements, mais de plus en plus il fait des petites expéditions dans les rues de Saint-Pétersbourg et se mêle à la populace.

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UN PETIT MOT ?

Boo (sinon j’avais prévu de prendre de Ioan Gruffud au début, mais j’ai remarqué à la dernière minute qu’il était prévu pour un PV qui n’avait pas été mis, pas de problème, mais j’ai dû prendre un moment pour trouver quelqu’un d’autre qui me plaisait, sinon n'hésitez a vous dire)